Back in Time : le jour où Metallica a donné un concert en Antarctique

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Il y a des jours mémorables dans l’histoire du rock et Pixbear vous les fait redécouvrir. Le 8 décembre 2013, Metallica se produisait sous un dôme en Antarctique. Ça se passait sur la Base Carlini. Retour sur cette prestation unique à plus d’un titre…

2013 est une année chargée pour Metallica. En plus de l’enregistrement du successeur de son album Death Magnetic (2008), le groupe sort le film 3D Metallica: Through the Never. Il organise également la deuxième édition de son festival Orion Music + More à Detroit (Michigan). Il y joue sous le nom de « Dehaan » et y reprend son premier album Kill ‘Em All (1983) en intégralité, histoire de célébrer les 30 ans de la sortie de ce disque.

Freeze ‘Em All

Le 8 décembre 2013, Metallica entre dans l’histoire en se produisant sous un dôme en Antarctique, plus exactement sur la Base Carlini gérée par l’Argentine. C’est le deuxième concert jamais donné dans la région. La première fois, il s’agissait d’un groupe de scientifiques. C’est l’occasion aussi pour Metallica de devenir le premier groupe à s’être produit sur les sept continents.

Pour des raisons de températures trop basses, le son est diffusé par des casques et non pas par des amplis. « C’était le concert le plus unique que Metallica a pu donner » explique le groupe. « L’énergie dans ce dôme était incroyable ! (…) Les mots ne peuvent pas décrire combien tout le monde était heureux ». Au final, Metallica joue 10 chansons constituant un best of survitaminé de sa carrière.

Setlist Freeze ‘Em All :

Creeping Death
For Whom The Bell Tolls
Sad But True
Welcome Home (Sanitarium)
Master Of Puppets
One
Blackened
Nothing Else Matters
Enter Sandman
Seek & Destroy

Hardwired… to Self-Destruct

Après ce concert historique, Metallica organisera en 2014 la tournée Metallica By Request au cours de laquelle les setlists seront établies par les fans. Il faudra attendre le 18 novembre 2016 (soit 8 ans après Death Magnetic) pour que le groupe sorte son dixième opus Hardwired… to Self-Destruct mais, ça, c’est une autre histoire…