Avis de passage : Riverside, Ghostly Kisses, Big Big Train, Dana Gavanski…
Nouvelles annonces de concerts ! Riverside, Ghostly Kisses, Big Big Train et Dana Gavanski nous rendront prochainement visite. Où et quand ? La réponse est ici !
11/09/2022 – Riverside @ La Machine du Moulin Rouge
« Riverside est sans aucun doute l’un des piliers de la scène Rock progressive et se lance dans une tournée européenne pour fêter ses 20 ans d’existence. Au cours de ces 20 ans, le groupe polonais basé à Varsovie a sorti sept albums studio, quelques albums live et deux mini-albums. Leur musique a évolué vers un style qui leur est propre et reconnaissable. Le leader de Riverside, Mariusz Duda, écrit sur la solitude, la lutte contre la dépression et la tentative de survie dans un monde en constante évolution. Riverside est connu pour ses concerts charismatiques, dont ils ont joué des centaines en Europe et dans les deux Amériques. Le groupe travaille actuellement sur son huitième album studio et, pour combler l’attente, a sorti un titre The Story of my Dream composé et enregistré spécialement pour leurs 20 ans de carrière. Après avoir célébré cet anniversaire à travers l’Amérique du Nord, Riverside fera le tour de l’Europe avec une escale unique en France à la Machine du Moulin Rouge. »
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19/09/2022 – Ghostly Kisses @ La Boule Noire
« Margaux Sauvé, alias Ghostly Kisses, est une chanteuse, auteure-compositrice-interprète et violoniste de Québec. L’idée du nom Ghostly Kisses est venue suite à la lecture du poème Une ballade des dames perdues de Faulkner. L’expression semblait bien refléter la voix éthérée de Margaux Sauvé. »
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11/09/2022 – Big Big Train @ Le Café de la Danse
« Big Big Train s’est imposé au fil des années comme un groupe majeur du prog symphonique et folklorique : à retrouver en concert au Café de la Danse le 11 septembre 2022 ! »
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30/09/2022 – Dana Gavanski @ L’International
« Le bout des doigts de Dana Gavanski a quelque chose d’envoûtant. Conduisant chaque note avec une légèreté gracieuse, ils semblent danser tout en aidant leur propriétaire à exprimer les histoires qui se cachent derrière chacune de ses tonalités plus légères que l’air. Des histoires qui, sur son nouvel album When It Comes, n’auraient peut-être jamais été entendues sans la guérison de cordes vocales « perdues » et une leçon sur la manière de prendre les choses en douceur.
‘À bien des égards, ce disque ressemble à mon premier’, raconte Dana. ‘Quand j’ai pu utiliser ma voix, j’ai dû me concentrer pour qu’il y ait une urgence et une trajectoire émotionnelle plus grande qu’avant… C’est très lié à la présence vocale, qui s’est étendue à un questionnement existentiel sur ma connexion à la musique. Cela ressemblait parfois à une bataille, que je perdais souvent’. Arrivant là où l’introversion et l’extraversion se rencontrent, When It Comes est le disque le plus vulnérable de Dana à ce jour. Cette artiste canado-serbe, qui n’a pas peur des extrêmes, mêle harmonieusement son amour de la musique des années 50-70 à la mythologie. Dirigé par l’instinct dans sa forme la plus pure, le dernier chapitre de Dana est une ode à la voix en tant qu’instrument – son pouvoir, et la façon dont elle peut délivrer des mots qui tirent et font des nœuds dans chaque corde sensible. ‘Les mots peuvent être pris au pied de la lettre, mais pour moi, la plupart du temps, ils sont des pivots. Ils pointent dans une direction mais n’y restent pas nécessairement’, dit-elle. »
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Publié le 03/05/2022
