14 choses que vous ne saviez pas sur les Clash
« Joe Strummer est né à Ankara en Turquie. Merci, je sais. C’est la base lorsque l’on s’intéresse aux Clash » fulminez-vous devant votre écran. Calmez-vous, bon sang ! Êtes-vous vraiment certain de tout savoir sur les Clash ? Pour vous en assurer, Pixbear a rassemblé 14 anecdotes concernant ce monument du punk britannique.
01. Il ne peut en rester qu’un…
Un seul membre du groupe a été présent du début à la fin de la carrière des Clash. Il s’agit de Paul Simonon. Ce dernier a monté le groupe avec Mick Jones en 1976. Ils ont recruté Joe Strummer puis Topper Headon. En 1982, ce dernier a quitté la formation, suivi par Mick Jones en 1983. Les Clash se sont séparés en 1986. Notez cependant que Paul Simonon n’a pas participé à l’intégralité de l’enregistrement de l’album Sandinista! (1980). Son remplaçant Norman Watt-Roy joue sur les titres Lightning Strikes (Not Once But Twice) et The Magnificent Seven.
02. Rock the Casbah
En 1991, la chanson Rock the Casbah, extraite de l’album Combat Rock (1982), a été utilisée par l’armée américaine pour accompagner le lancement de l’opération tempête du désert en Irak. Joe Strummer déclarera avoir pleuré en l’apprenant.
03. Exception
The Clash est le seul groupe « blanc » a être représenté en peinture dans le studio Black Ark de Lee Perry en Jamaïque.
04. Marathon man
Au début des années 80, Joe Strummer a couru deux fois le marathon de Londres et une fois le marathon de Paris. Selon ses déclarations, son régime consistait à boire 10 pintes de bière la veille de la course.
05. Anti-managers
Au cours d’une émission télévisée, Joe Strummer a déclaré que les managers de groupe devraient tous se retrouver dans des camps de concentration.
06. Topper Headon
Nicky Headon a reçu le surnom de « Topper » car Paul Simonon trouvait qu’il ressemblait à Mickey the Monkey de la bande dessinée The Topper.
07. Hépatite
Joe Strummer a chopé une hépatite en donnant des concerts. A la fin des année 70, la scène punk britannique pratiquait en effet le « gobbing ». Le public crachait sur les artistes pour signifier leur contentement. Une pratique qui n’était donc pas sans risque pour les musiciens…
08. Au prix d’un album simple
Les Clash ont décidé de vendre leur double album London Calling (1979) et leur triple album Sandinista! (1980) au prix d’un album simple. Pour ce faire, ils ont renoncé à leurs royalties sur les 200 000 premiers exemplaires vendus.
09. Pose empruntée
La pose choisie par les Clash sur la pochette de leur premier 45 tours White Riot (1977) est empruntée à celle de Joe Gibbs & The Professionals sur l’album State of Emergency (1976).
10. Import le plus vendu
Le label américain du groupe a jugé que son premier album éponyme n’était pas fait pour la radio et a décidé de ne pas le sortir. Ce disque est devenu l’import le plus vendu aux Etats-Unis de l’année 1977.
11. Elvis Presley
La pochette de London Calling (1979) s’inspire de la pochette de l’album Rock And Roll d’Elvis Presley (1956).
12. Mamie punk
La majorité du premier album des Clash a été écrite dans l’appartement de la grand mère de Mick Jones sur Harrow Rd. à Londres (Angleterre). Cette dernière assistait régulièrement aux concerts du groupe.
13. Premier concert
Les Clash ont donné leur premier concert au cours de l’été 1976 en première partie des Sex Pistols au Black Swan de Sheffield (Angleterre). Ils étaient cinq sur scène (Keith Levene jouait de la guitare).
14. Plus facile à jouer
Mick Jones a tenté d’enseigner la guitare à Paul Simonon mais ce dernier a finalement choisi la basse parce que c’était plus facile à jouer.
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