Mercury Rev revient à Paris pour un concert exceptionnel au Trianon le 22 octobre 2026. À l’occasion des 25 ans de leur album culte All Is Dream, le groupe promet une soirée mémorable, accompagnée par Mick Harvey et Amanda Acevedo en premières parties. Un rendez-vous incontournable pour les amateurs de rock indépendant et de sonorités psychédéliques.
Formé en 1989 à Buffalo (New York), Mercury Rev s’est imposé comme une figure majeure du rock indépendant, explorant sans cesse les frontières artistiques. Leur style unique mêle pop psychédélique, indie rock immersif, et des arrangements somptueux, salués par la presse internationale : The Guardian parle d’« une rareté dans le rock indépendant », Rolling Stone évoque leur « chaos majestueux », et la BBC loue leurs « passages spectaculaires et captivants ». Pourquoi ce concert est spécial ? Le groupe y célébrera les 25 ans de All Is Dream, un album qui a marqué l’histoire du rock alternatif.
Réservez vos places !
All Is Dream
All Is Dream, cinquième album studio de Mercury Rev, paru en 2001, est une œuvre hypnotique qui prolonge la magie de Deserter’s Songs. Porté par la voix fragile de Jonathan Donahue et la production luxuriante de Dave Fridmann, il mêle dream pop, rock psychédélique et orchestrations somptueuses. Des titres comme The Dark Is Rising et Lincoln’s Eyes déploient des paysages sonores cinématographiques, oscillant entre mélancolie et grandeur. Avec ses arrangements de cordes signés Tony Visconti et ses textures oniriques, l’album explore la lumière et l’ombre, l’amour et la perte, offrant une expérience immersive qui reste l’un des sommets du rock alternatif.
Réservez vos places !
Patterns
Patterns, premier extrait de Born Horses (2024), marque le retour de Mercury Rev après neuf ans d’absence. Portée par la voix singulière de Jonathan Donahue, la chanson mêle spoken-word et textures psychédéliques, oscillant entre guitares éthérées et claviers hypnotiques. Inspirée par l’idée que l’ordre se cache derrière le chaos, elle évoque les constellations et les motifs invisibles qui structurent nos vies. Mixé par Peter Katis (The National, Interpol), ce titre reflète l’esthétique du groupe : entre nostalgie cinématographique, influences Broadway et jazz, et une poésie introspective qui transforme l’ordinaire en vision cosmique.