
Carl Barât
Origine : Basingstoke, Angleterre (Royaume-Uni)
Date de naissance : 6 juin 1978
Groupes : The Libertines, Dirty Pretty Things
Site Officiel : carlbarat.co.uk
- The Libertines
- Pete Doherty : les 27 bonnes paroles d’un dandy du 21ème siècle
- 11 arrestations légendaires de l’histoire du rock (2003 – 2004)
- Le 11 novembre, un jour important dans l’histoire du rock
- 12 choses que vous ne saviez pas sur les Libertines
- Avis de passage : The Libertines, Allah-Las, Katerine, Amber Run…
- Avis de passage : Carl Barât, Sticky Fingers, Lucy Rose, Municipal Waste…
- Zapping de la semaine : The Libertines, Eleanor Friedberger, Starwalker, Speedy Ortiz…
- Zapping de la semaine : The Libertines, José González, Slayer, Suuns & Jerusalem in My Heart…
- Les Libertines en concert à l’Olympia (Paris) en mars
::: BIOGRAPHIE :::
1978 – 1996 : ses tendres années et sa rencontre avec Pete Doherty
Carl Barât est né le 6 juin 1978 à Bashington dans le Hampshire (Angleterre) et passe la majeure partie de son enfance à Whitchurch. Fils de parents divorcés, il vit avec sa mère à Somerset. A 18 ans, il étudie la comédie à la Brunel University (Twinckenham). Il y fait la connaissance d’Amy-Jo Doherty. Cette dernière lui présente son frère Pete Doherty avec qui il se lie d’amitié.
1997 – 2004 : la période Libertines
Le duo recrute John Hassal (basse) et Gary Powell (batterie) pour former le groupe The Libertines. Le quatuor est signé par le label Rough Trade Records. Il livre son premier opus Up the Bracket le 14 octobre 2002. Carl Barât supporte alors de plus en plus mal l’addiction de Pete Doherty à l’héroine et au crack. Il décide donc de partir en tournée au Japon sans lui. Pour se venger, Pete Doherty cambriole son appartement. Ce dernier écope de six mois de prison, sentence ramenée finalement à deux mois. Pendant son incarcération, Carl Barât se réconcilie avec lui.
Lors de l’enregistrement du deuxième album du groupe en 2004, les tensions entre Carl Barât et Pete Doherty resurgissent. Après la sortie du disque, Pete Doherty est à nouveau écarté de la formation. Il fonde les Babyshambles et les Libertines finissent par se séparer.
2005 – 2008 : la période Dirty Pretty Things
En 2005, Carl Barât est hospitalisé pour ôter une tumeur derrière l’oreille. Cette opération le laisse partiellement sourd. Il annonce alors qu’il a signé un contrat solo avec le label Vertigo Records. Il prête sa voix au single Pornography du duo Client, monte le club Dirty Pretty Things à Londres et se prête au jeu de la compilation Under the Influence sur laquelle il rassemble ses artistes favoris.
Parallèlement, Carl Barât fonde le groupe Dirty Pretty Things avec Gary Powell (batterie), Anthony Rossomando (guitare) et Didz Hammond (basse). La formation se produit pour la première fois en octobre 2005 en Italie et en France. Le 8 mai 2006, le groupe livre son premier album Waterloo to Anywhere produit par Dave Sardy (The Dandy Warhols, Oasis, Supergrass). Ce disque reçoit un excellent accueil en Angleterre.
En août 2007, le chanteur retrouve Pete Doherty en studio et enregistre avec lui la reprise des Beatles A Day in the Life pour marquer les quarante ans de la sortie de Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band.
Le 30 juin 2008, les Dirty Pretty Things livrent leur deuxième opus Romance at Short Notice. Ce disque ne reçoit pas l’accueil escompté et pousse le groupe à la séparation en octobre 2008. Il achève néanmoins sa tournée britannique.
2009 – 2010 : reformation des Libertines et premier album solo
Carl Barât se tourne alors vers le cinéma. Il joue le rôle de Gene Vincent dans le film Telstar qui sort en juin 2009. Il donne également quelques concerts solo en première partie de Glasvegas. En septembre 2009, Carl Barât annonce qu’il travaille sur son premier album solo. Le 16 mai 2009, il retrouve Pete Doherty et Gary Powell sur scène pour honorer la mémoire du promoteur des Libertines, Johnny Sedassy.
Au cours de l’été 2010, les Libertines se retrouvent à nouveau pour un concert aux Reading and Leeds Festivals en Angleterre. Le 4 octobre 2010, Carl Barât livre un premier album solo éponyme. En décembre 2010, il participe au single The Fall of Rome du super-groupe The Bottlepop Band en compagnie de Matt Helders (Arctic Monkeys), Andy Nicholson (Arctic Monkeys), Drew McConnell (Babyshambles) et Gruff Rhys (Super Furry Animals). Parallèlement, il devient papa d’un petit Eli.
2011 – 2015 : retour des Libertines et premier album de Carl Barât and The Jackals
En 2013, Carl Barât entame seul la confection d’un nouvel album à Los Angeles (Californie). Il recrute ensuite trois musiciens sur le net et monte le groupe Carl Barât and The Jackals. En 2014, il retrouve les Libertines pour une nouvelle tournée. Le groupe annonce la sortie d’un nouvel album pour l’année suivante. Le 16 février 2015, Carl Barât sort le premier album de Carl Barât and The Jackals Let It Reign. Ce disque est produit par Joby J. Ford (The Bronx).
Mr. Grieves
::: VIDEOS :::
Carl Barât Carl Barât and The Jackals Dirty Pretty Things The Libertines
Anna Calvi
V.V. Brown


8 choses que vous ne saviez pas sur Cheap Trick

Back in Time : le jour où Bon Scott (AC/DC) nous a quittés

12 choses que vous ne saviez pas sur les Deftones

